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“Mettre en avant nos éleveurs qui travaillent bien, leur proposer des pistes de sécurisation de leurs performances et participer activement à l’élaboration d’une démarche commune pour améliorer le bonheur des animaux dans notre clientèle et rencontrer des vétos qui partagent cette approche. C’est ce qui m’a conduit à adhérer dès le début à la démarche HAPPY. De toute façon nous devons revoir nos pratiques pour répondre aux aspirations de nos clients mais aussi des leurs : les consommateurs !” Alexandre Vouillot – Vétérinaire à Houtaud (25)


“Au fil des ans, nous avons bâti une relation de confiance et les éleveurs nous sollicitent avant d’investir. Concrètement réalisons des plans de nursery, des conseils sur la conception du bâtiment. L’éleveur reste maître chez lui et prend ensuite ses décisions.  Nous avons autant de frais de prévention que de soins curatifs dans beaucoup d’élevages. C’est plus agréable de travailler en amont que d’intervenir dans l’urgence. En tant que vétérinaire, j’ai l’impression d’être plus utile.” Roland Van Unen – Vétérinaire à St Germain Laval


“Les visites classiques rurales de soin aux animaux malades sont devenues minoritaires. Plutôt que d’être appelé pour soigner des animaux malades, désormais je travaille pour éviter qu’ils ne le soient. Ca change beaucoup de choses dans mon équilibre personnel et professionnel, je fais vraiment le métier dont j’ai rêvé quand j’étais enfant !” Jean Yves Roux – Vétérinaires à Pont de Vaux (01)


“Le bonheur des animaux et des hommes en élevage ! C’était exactement dans la problématique, je suis très sensible au bien être des animaux, c’est pour cela que j’aime le parage. L’effet est souvent immédiat et la plupart du temps sans médications.  Le parage est une excellente porte d’entrée pour aborder le bien-être avec nos éleveurs, il aide aussi au conseil en matière de logement, confort, alimentation… Vaches heureuses, éleveur heureux, véto heureux.” Michael Delbouvry – Vétérinaire à Lafeuillade en Vézie (15)


“Je veux remercier l’équipe Obione pour leur accueil et surtout de nous avoir proposé cette aventure humainement et techniquement passionnante. Que du bonheur, et le bonheur on le sait nous rend happy !” Luca Fabozzi – Vétérinaire à Secondigny (79)


“L’enthousiasme m’a gagné à l’idée de prendre part à cette aventure enrichissante. Vivement nos prochaines rencontres ! Et maintenant, au boulot ! Allons aider nos éleveurs et leurs vaches à être HAPPY !” Sébastien Davrou – Vétérinaire à St Germain Laval (42)

Soigner les animaux malades et encore mieux, les garder en bonne santé !

Le vétérinaire a dans sa voiture, dans sa clinique et dans sa tête tous les médicaments qui permettent de soigner les animaux malades.

Mais l’époque a changé, les attentes des éleveurs comme celles des consommateurs ont évolué. Et les deux se rejoignent sur le constat que le rôle du vétérinaire n’est plus d’être uniquement celui qui soigne l’animal malade mais tout autant, voire plus, celui qui permet au troupeau de rester en bonne Santé. Et sans utiliser de médicaments si possible.

Et c’est possible !

De nos années passées dans les troupeaux présentant des problèmes, parfois graves, tout au long de nos audits, visites d’élevages et suivis, grâce aux formations suivies partout dans le monde et aux visites de troupeaux réalisées dans ces pays : USA, Hollande, Israël, Pologne, Espagne, Italie, etc… nous avons acquis la certitude que la Santé repose sur des concepts simples mais intransigeants : le management des animaux, leur confort et leur alimentation sont les clefs du succès.

D’autres nous avaient devancé et disaient « le microbe n’est rien, le terrain est tout !  »
A quoi sert un vaccin fait aux mères si les veaux ne boivent pas le colostrum ? Comment lutter contre les mammites sans maîtriser ce qui sera en contact avec la mamelle pendant au moins 12H par jour, la litière et donc la ventilation, la densité d’animaux dans le bâtiment, la luminosité qui permettent l’évacuation de l’humidité et l’assèchement des zones de couchage ?

Une mammite représente près de 600€ de perte. Dans le calcul du coût de la maladie, le coût des traitements n’intervient pas tant il est faible comparé aux coûts de la transmission de la maladie à d’autres vaches, des réformes anticipées, du lait jeté, mais aussi non produit ! Ce qui compte n’est pas d’avoir des médicaments moins chers, ce qui compte est d’avoir moins de mammites !

Notre rôle en tant que vétérinaires est de limiter le nombre d’animaux malades et d’assurer, en toute circonstance et en permanence aux animaux, le niveau de confort le plus élevé possible.
Notre objectif est de proposer à nos clients les meilleures techniques pour permettre aux vaches de vêler le plus facilement, de trouver les moyens d’assurer aux vaches taries et en début de lactation le confort optimum car c’est ce confort qui permettra d’éviter la plupart des maladies. Notre assurons tous les ans des réunions et des formations sur la gestion des premières heures de vie car ces premières de vie conditionnent la réussite de l’animal adulte que deviendra le jeune veau nouveau né. De la qualité de ces premières heures de vie dépendent la carrière et la longévité des animaux. Ca vaut le coup d’y consacrer un peu de son temps !

C’est notre engagement en tant que HAPPY VET, c’est notre satisfaction en tant que vétérinaire et notre fierté en tant que partenaire des éleveurs avec lesquels nous travaillons tous les jours.

 

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